Le président cabiste se trouve face à une facture héritée à régler avant le 31 juillet. On a cru que le CAB allait travailler dans la sérénité avec l’arrivée de Samir Yaâcoub à la présidence du club. Seulement, voilà que des dettes antérieures laissées par Abdessalem Saïdani, qui dit lui-même avoir été trompé, lors de la passation de main par son …