Ayachi Hammami, ministre des Droits de l’Homme, a clos, hier, l’affaire, en annonçant qu’Elyès Fakhfakh a décidé de vendre ses parts dans le groupement. Les conséquences du geste du Chef du gouvernement sont là : Mohamed Abbou n’aura pas à enquêter pour découvrir «la vérité» et Chawki Tabib doit se rassurer parce que Fakhfakh a répondu favorablement, le jour même, …