La majorité des Tunisiens ne cherchent pas à savoir si l’action du Président de la République est légale ou pas, ou si prendre le pouvoir absolu est dangereux. Ce qui importe (pour l’instant), c’est que le Président mette le holà dans un pays en proie à une crise socioéconomique, politique et sanitaire. Sans rentrer dans une polémique qui divise constitutionnalistes …