A partir de 2011, les associations, créées dans un contexte révolutionnaire, et financées probablement par des sources étrangères, se comptaient par centaines à Zarzis. D’après leurs dires, les responsables de ces associations humanitaires ou à vocation culturelle allaient aider les jeunes, leur accorder des crédits et les former pour leur permettre de rester sur place et améliorer leurs conditions de …