Les cabistes reprennent le chemin des entrainements: Le CAB met les bouchées doubles


La première étape de la préparation consiste à se remettre sur le plan physique dans les hauteurs de la forêt de Nador.

Pour les répétitions, l’escouade cabiste a été scindée en deux.


Les joueurs du CAB qui s’apprêtent à défendre leur place parmi l’élite au retour de la compétition le 2 août ont repris le chemin du Stade-Ahmed Bsiri sous la direction d’une armada de responsables techniques avec à leur tête l’entraîneur principal Sofiène Hidoussi. Un premier groupe de 29 joueurs, constitué pour la plupart des professionnels de l’équipe sénior dont Ayari, Baratli, Darragi, Jabbari, Youssoufa, Bousnina, Machani et Rjaibi, a été rassemblé dans ce terrain mythique avant d’entamer la première étape de la préparation qui consiste à se remettre sur le plan physique dans les hauteurs de la forêt de Nador.

Baratli et Ounalli dans  le second groupe

Le second groupe, composé dans sa majorité de jeunes espoirs comme Bilel Belkhodja, Moncef Fouchali, Nader Jerbi, Rayen Belkahia, Ferchichi,  Ben Ameur, Khalil Balbouz encadrés notamment  par les expérimentés  Hatten Baratli, Zied Ounalli et Sahraoui, a imité le premier groupe le lendemain, toujours sous la houlette du même staff technique bien étoffé. Maintenant, la période à venir s’annonce décisive quant à l’avenir du club nordiste, et les «Requins du nord» doivent donc mettre les bouchées doubles.

Quid du 15-Octobre ?

Volet stade 15-Octobre, la balle  est maintenant dans le camp de la municipalité de Bizerte. En effet, il s’agit d’accepter ou non de donner l’accord au président du CAB de prendre à sa charge l’opération de réhabiliation du terrain dudit stade. Un cahier des charges a été exigé de la part des autorités locales. Ce qui fut fait. Les Cabistes n’attendent plus que la décision du Conseil municipal. Il y a de fortes chances que le dossier soit accepté. Si tel est le cas, le CAB pourrait alors fouler le gazon du stade en novembre prochain, selon les prévisions de Abdessalem Saidani.

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